đŸłïžâ€đŸŒˆ 17 mai : journĂ©e mondiale contre l’homophobie, la transphobie et toutes les LGBTphobies

Bon, vous vous demandez peut-ĂȘtre si c’est bien le rĂŽle d’un syndicat de passer du temps sur ce genre de sujet, quand il y a dĂ©jĂ  tant Ă  faire sur les conditions de travail, le pouvoir d’achat, les effectifs, la pĂ©nibilitĂ©, les salaires. C’est une question lĂ©gitime.

Et la rĂ©ponse est simple : oui, c’est notre rĂŽle. Totalement.—

Pourquoi ? Parce que le syndicalisme de 2025, ce n’est plus celui de 2005.
Avant, on allait voir “le syndicaliste” parce qu’il connaissait les articles du Code du travail ou du statut par cƓur. Il faisait peur Ă  la hiĂ©rarchie parce qu’il avait les bons textes.
Mais aujourd’hui, tout le monde a accĂšs aux textes.Les employeurs essaient (souvent) d’ĂȘtre rĂ©glo, la documentation est publique, et mĂȘme les IA savent te rĂ©citer l’article L.1 du Code du travail.

Alors Ă  quoi sert encore un syndicat en 2025 ?
À porter des combats. À dĂ©fendre des valeurs.

Et ce combat — celui contre les LGBTphobies dans le monde du travail — on doit le porter. Ensemble. Fort. Visiblement.

Bref, si vous voulez le soutien de l’Union RĂ©gionale Interprofessionnelle de l’UNSA pour organiser qqc le 17 mai : un email Ă  ur-bfc@unsa.org !


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